✨️ Pourquoi choisir l'Énergétique Traditionnelle Chinoise ?

✨️ Pourquoi choisir l'Énergétique Traditionnelle Chinoise ?

Plusieurs millénaires avant J.-C., de nombreuses civilisations à travers le monde cultivaient leurs propres pratiques de soins traditionnels (MTC, Ayurveda, Chamanisme, Rituels…) pour répondre aux premiers dérèglements que l’être humain a pu rencontrer.

Cependant, au fil des générations, des guerres et des bouleversements, l’humanité s’est parfois égarée, entraînant l’oubli de précieux savoirs ancestraux.

La rigueur et la culture du peuple Chinois ont permis, siècle après siècle, de sauvegarder l’essence de leurs Soins Traditionnels, notamment grâce à l’ouvrage fondateur : le Nei Tching (Nei Jing).

Peu de peuples ont réussi à transmettre un tel volume de connaissances intactes. C’est ce qui fait aujourd’hui de l’Énergétique Traditionnelle (Originale et Taoïste) l’une des approches holistiques les plus complètes.

C’est pourquoi le choix de cette pratique authentique s’est imposé à moi comme une évidence 🌈.

☀️ Pourquoi les points « d'Acupuncture »?

☀️ Pourquoi les points « d'Acupuncture »?

Au sein de la grande famille de l’Énergétique Traditionnelle Chinoise, le travail des points « d’Acupuncture » est un savoir inestimable, qui a traversé les âges avec une fidélité remarquable.

Cette connaissance a été remise en lumière par d’éminents sinologues (cités →ici←) grâce à l’étude approfondie des textes originels, préservés des déformations humaines et politiques au fil du temps.

Cette pratique vous offre une approche purement énergétique et naturelle. Ici, aucune substance n’est ingérée : seuls l’équilibre et la libre circulation du Sueh (Xue, Sang) et du Tch’i (Qi, Souffles) nous guident.

Je vous invite à découvrir l’extrait ci-dessous, qui éclaire magnifiquement cette vision.

📜 Extrait du Sou Wen 素問 (-2600 av. J.-C.)

Traduction de Jacques-André Lavier

« Moi qui suis le chef d’un grand peuple, responsable d’une multitude de familles, et qui devrais donc en percevoir les impots, je constate avec affliction que je n’en perçois point parce que mon peuple est malade.

Je veux que l’on cesse d’administrer des remèdes qui rendent mon peuple encore plus malade.
Je veux que l’on abandonne les Pien Cheu (poinçons de pierre, ancêtres des aiguilles) pour n’employer désormais que les aiguilles de métal, que l’on pique dans les Tching (Méridiens) afin d’agir sur le Sueh (Sang) et le Tch’i (Souffles), et d’en rétablir le bon équilibre.

Afin que cet art puisse être transmis aux générations futures, il faut que ses lois soient définies, que sa pratique se développe et s’étende sans cesse, que l’on ne l’oublie surtout pas, et qu’elle devienne facile à appliquer.

Il faut donc consigner ses règles par écrit, il faut en marquer les différences, distinguer les internes des externes, et que chacune soit exprimée clairement, sans oublier les règles de manipulation des aiguilles.

Tel est mon sentiment. »

Houang-Ti à Tch'i Pai
Houang-Ti à Tch'i Pai
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